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Le cadre est parfait. Nous avons un modérateur qui s'entretient avec un partisan et un opposant de la loi. L'"expert" est un politologue de l'Université de Zurich.
On pourrait s'attendre à une conversation équitable. Mais après quelques phrases, c'est clair : ils sont trois à jouer contre un.
Markus Häni n'a pas eu la vie facile. Néanmoins, le message qu'il voulait transmettre au public est passé : La loi Covid 19 est une imposture. Elle vend l'aide financière incontestée en même temps que de dangereuses restrictions des droits fondamentaux. Et le citoyen n'en est pas informé dans le livret de vote, car les restrictions décisives des droits fondamentaux n'ont été insérées dans la loi qu'après, en mars 2021. On cherche en vain ces ajouts à la loi dans le cahier de référendum.
L'article 1a donne au Conseil fédéral un pouvoir qui devrait être exclu dans une démocratie directe. Le Parlement n'y figure pas.
L'article 3a de la loi est discriminatoire envers les personnes qui ne sont pas vaccinées. Ils doivent être mis en quarantaine. Les personnes vaccinées ne le font pas.
L'article 3b lui permet d'assurer un système complet de test et de recherche des contacts. Cela peut conduire à une surveillance totale.
Il s'agit d'un pur discours alarmiste lorsque les partisans de la loi affirment que l'argent de la compensation sera supprimé si le vote est négatif.
Le Conseil fédéral aurait une solution soignée avec la motion de Pirmin Schwander qui demande une loi distincte sur les aides financières Covid 19. Il devrait traiter cette motion de toute urgence. Mais il prend son temps car il ne veut pas de cette solution au problème.
Il y a toutes les raisons de voter non à la loi Covid 19 le 13 juin. Le Conseil fédéral et le Parlement peuvent aider les entreprises qui sont en détresse sans qu'elles en soient responsables à cause des mesures totalement disproportionnées du Conseil fédéral avec une nouvelle loi sur les aides financières Covid 19 ! Nous ne devons pas permettre une nouvelle restriction de nos droits fondamentaux.