Notre État de droit s'érode !

Nous vivons des temps difficiles. La société est divisée : Les uns font ce que l'État leur prescrit, en espérant que cela mettra enfin un terme à notre "pandémie". Les autres sont moins disposés à le faire.
Ils se sentent harcelés lorsque l'État leur prescrit un "vaccin" sans que celui-ci ait été soigneusement examiné. Ce groupe est actuellement exclu de la vie publique et a de plus en plus de mal à s'en sortir.

Mais nous vivons dans une démocratie. Dans une démocratie, les citoyens ont le droit d'exprimer leur mécontentement. Par exemple en organisant une manifestation ou une retraite aux flambeaux. C'est ce qui s'est passé récemment à Soleure. Plus de 300 personnes se sont levées et ont donné un visage à leur mécontentement. C'est leur droit le plus strict. Et ce droit doit être protégé dans un État de droit.

Bien entendu, tout avait été convenu avec les autorités. Une vingtaine de policiers ont été mobilisés pour assurer leur protection. Une évidence, d'ailleurs. Ce qui l'était moins, c'est que cette foule de personnes, toutes issues du centre de la société, n'ait pas été autorisée à se promener dans la vieille ville. Là où le plus grand nombre de personnes possible aurait pu voir que certains n'étaient pas d'accord. On fait une retraite aux flambeaux pour se faire entendre et être vu. Pas dans le plus grand secret.

Bon, d'accord. On leur a accordé un autre itinéraire, un peu à l'écart. Avec un détail qui décoiffe. Les manifestants devaient traverser un pont piétonnier étroit. Un endroit idéal pour perturber la retraite aux flambeaux. La police le savait. Elle l'a même signalé. Alors pourquoi le groupe de personnes devait-il passer à cet endroit précis ?

Et puis : qui s'en étonne ? Nos manifestants ont été "attendus" précisément à ce passage à niveau par quelques personnes encagoulées, huit pour être précis. Notez bien : la police était présente avec 20 agents. 20 contre 8 ne devrait pas être un problème. Mais ça l'était. Les cagoulés se sont imposés, nos manifestants pacifiques ont dû faire demi-tour.

Aucun membre du Black Bloc n'a été dénoncé. Personne n'a subi de conséquences de cette action perturbatrice !
Comment cela se fait-il ? Il n'y a qu'une seule explication : la police est du mauvais côté. Elle soutient les violents, ceux qui ne respectent pas nos lois. Elle ne fait plus respecter la loi et l'ordre.

Notre État de droit s'érode !

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