Article – La loi covid pourrait aussi pénaliser les vaccinés

Steve Axentios, 7 novembre 2021

Seriez-vous prêt à vous faire injecter le vaccin tous les quatre à six mois ? Pour le restant de vos jours ? Accepteriez-vous de perdre votre emploi, votre liberté de mouvement ou l’accès à vos comptes bancaires si vous refusiez, un jour, votre énième booster ? À quelques semaines de la votation, la question mérite d’être posée. Car la loi Covid pourrait aussi pénaliser les vaccinés. Explications.

La protection offerte par le vaccin contre les formes graves semble pour l’instant durer autour de 6 mois. Si, à l’avenir, ce bouclier s’estompait beaucoup plus rapidement et qu’il fallait dénuder l’épaule plus souvent ? Si le vaccin à répétition vous rendait, à la longue, beaucoup plus susceptible d’être infecté, tout en diminuant vos défenses immunitaires ? Et si après x doses, des effets indésirables graves devenaient de plus en plus fréquents ?

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Il ne s’agit pas de fabulations complotistes, mais d’hypothèses formulées en observant la situation actuelle. Hypothèses de scientifiques et penseurs beaucoup plus qualifiés que moi, je le précise, que j’essaie simplement de mettre en contexte. Comme, par exemple, la lettre co-signée par plus de 500 scientifiques, envoyée dernièrement au Parlement européen, contre l’obligation vaccinale.

Le doute, même s’il émane d’une minorité, doit toujours avoir sa place dans le débat plutôt que d’être balayé d’un revers de main hautain. Surtout quand personne n’a de réponse définitive.

J’en profite aussi pour déclarer que je n’ai aucune compétence médicale ou épidémiologique. Cette impotence scientifique ne m’empêche toutefois pas de réfléchir, de poser des questions et de m’informer, comme tout citoyen devrait le faire. Même s’il faut souvent suer pour trouver de l’information dite dissidente, tant les médias semblent endoctrinés par le discours officiel.

Personne ne peut garantir la sécurité du vaccin à long terme

En dépit de ce que certains veulent vous faire croire – en vous regardant pourtant droit dans les yeux et en tentant d’anesthésier votre capacité à raisonner –, aucun scientifique, politique, mathématicien ou voyant ne peut garantir à 100% la sécurité et l’efficacité du vaccin Covid sur le long terme.

Je précise bien le Covid, et non pas les vaccins habituels, appliqués depuis beaucoup plus longtemps.

Je le répète : personne, même bardé de prix Nobel et de distinctions internationales, ne peut prévoir de quoi demain sera fait. Il suffit de relire les prédictions des plus éminents spécialistes durant la pandémie pour s’en persuader !

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Les labos ont réalisé des prouesses technologiques, certes. Plusieurs milliards d’injections ont été appliquées, d’accord. Mais il ne faut pas confondre le nombre de piqûres avec la durée d’observation. Car il existe un facteur que nul ne pourra jamais maîtriser : le temps.

Ce n’est pas un secret : certaines substances peuvent déclencher des problèmes de santé des années plus tard. Et certaines maladies se développent progressivement, indétectées. En médecine aussi. Ajoutez à cela une nouvelle technologie ARN Messager, dont le recul sur les êtres humains est extrêmement limité, et vous obtenez un cocktail imprévisible.

Ce manque de recul devrait inciter à la prudence. En d’autres termes, proposer le vaccin à tous ceux qui le souhaitent et laisser les autres décider pour eux-mêmes. Comme des adultes. Sans restrictions, sans contraintes, sans châtiments.

Or, les gouvernements appliquent toutes sortes de mesures coercitives pour forcer la vaccination.

On vaccine donc à tour de bras. Y compris les enfants, sur la base d’une étude Pfizer sur 2268 enfants seulement. Et sous peu, ce sera probablement au tour des nouveaux-nés. Une étude qui montre clairement (voir tableau ci-dessous) que la fréquence des complications cardiaques est largement augmentée chez les vaccinés par rapport à la population générale des enfants.

Je ne peux m’empêcher de souligner que le JCVI anglais (sorte de task-force du vaccin) n’avait pas recommandé la vaccination pour les moins de 18 ans, déclarant que les “bénéfices ne justifiaient pas les risques potentiels“, avant de faire mystérieusement marche arrière.

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Il est important de le souligner: le vaccin Covid n’est pas comparable aux vaccins obligatoires que tous les enfants reçoivent dès la naissance, qui sont appliqués depuis des dizaines d’années. Non seulement ces vaccins ont passé avec succès l’épreuve du temps, mais ils sont basés sur des technologies classiques.

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Le pass, un aller simple vers la vaccination forcée

C’est pourquoi la loi Covid doit être rejetée pour le simple fait d’imposer un certificat, dont la seule fonction est de forcer à la vaccination.

Accepter de lier irrémédiablement des libertés à une piqûre, c’est ouvrir la porte à toutes sortes de dérives totalitaires. Aucune étude n’a démontré l’utilité sanitaire du pass, faut-il le rappeler. Et pourtant, il est imposé partout comme la panacée.

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Vu que le vaccin n’empêche pas la transmission du Covid – les vaccinés semblent toutefois transmettre un peu moins et un peu moins longtemps –, le pass sanitaire protège autant du virus qu’une passoire d’un coup de soleil. Et il n’est pas possible de corréler son introduction à une baisse des hospitalisations, contrairement aux affirmations, pardon, aux sermons du Conseil Fédéral.

Si le souci premier des autorités était vraiment de préserver la santé des citoyens avec ce certificat, en limitant la diffusion du virus, par exemple, tout le monde, à commencer par les vaccinés, devrait se tester avant de fréquenter un lieu public.

Les non-vaccinés ne sont pas à craindre

Donc, qu’il soit dit une fois pour toutes que ceux qui n’ont pas relevé leur manche ne présentent aucun danger pour la santé des vaccinés. Au contraire, un non-vacciné testé régulièrement est par définition moins dangereux pour autrui qu’un vacciné jamais testé. Ironique, non?

Pour l’anecdote, les chiffres récents du gouvernement anglais (semaines 38 à 41) montrent que les vaccinés de plus de 30 ans ont deux fois plus de chances d’attraper le Covid que les non-vaccinés.

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L’immunité collective, un mythe

L’immunité collective promise comme un Graal par de nombreux experts des plateaux TV s’est transformée en fantasme d’épidémiologiste. Impossible à atteindre, à moins d’avoir un vaccin qui protège à 100% et que toute la planète se fasse injecter plus ou moins en même temps.

Vu que les animaux peuvent aussi attraper et transmettre cette fichue maladie, le virus n’est pas près de disparaître, comme le constatent amèrement les adeptes de la stratégie zéro Covid.

Corollaire: le message “se vacciner par solidarité, pour protéger les autres” relève plus du marketing vaccinal que de la réalité épidémiologique.

D’aucuns aboient que les variants se multiplient à cause de ceux qui refusent l’aiguille, pensant ainsi justifier toutes les contraintes imposées aux réfractaires. De nombreux scientifiques réfutent pourtant l’argument avec véhémence. Le propre d’un virus est de muter. Avec ou sans vaccin. Point barre.

Malheureusement, parce que leur discours a l’outrecuidance de s’opposer au récit officiel, ils n’ont pas droit à la parole dans les médias.

Répétons-le : si la pandémie continue et si les cas augmentent, ce n’est pas la faute des non-vaccinés.

Censure et propagande

D’ailleurs, au chapitre censure, d’éminents scientifiques et médecins sont empêchés de s’exprimer, victimes d’une honteuse chasse aux sorcières sur les réseaux. Même les publications scientifiques sont complices de cette mise au placard.

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Quand ils parviennent à donner de la voix, ils subissent un lynchage systématique de fact-checkers, souvent financés indirectement par des labos. Ils sont aussi menacés de suspension ou de boycott. Ou alors, particulièrement à la mode, on les traite de complotistes, tout en veillant à bien dénigrer leur réputation ou à minimiser leur parcours académique.

Prenez une pause et réfléchissez : combien d’infos qualifiées de complotistes se sont finalement avérées véridiques ? La liste est, vous le verrez, assez édifiante.

Ces mêmes labos financent aussi la recherche académique dans son ensemble, de nombreux médias et des institutions étatiques, comme la toute-puissante FDA américaine ou l’OMS. Ils signent également des chèques à de nombreux médecins, politiciens ou personnages influents.

De nombreux scientifiques préfèrent se taire plutôt que d’aller à l’encontre de la doxa, car leur salaire dépend de leur complaisance. L’auto-censure par confort. Ou par peur. Vous pensez qu’un médecin cantonal, par exemple, garderait longtemps son poste s’il tenait un autre discours que celui des autorités ?

Lorsque Facebook supprime systématiquement les groupes d’utilisateurs se réunissant pour évoquer les effets secondaires des vaccins, quand YouTube se livre à une traque sans précédent de ceux qui posent les vraies questions (et apportent parfois des réponses dérangeantes), quand l’OMS réécrit sa définition de l’immunité naturelle pour favoriser la vaccination, quand les médias se muent en porte-parole des gouvernements, il y a forcément anguille sous roche.

Mais encore faut-il faire l’effort de soulever la roche pour apercevoir l’anguille. Et beaucoup en ont tellement marre qu’ils préfèrent ne plus se poser de questions et croire/suivre les recommandations officielles.

La censure et la propagande donnent la fausse impression qu’il se dégage un consensus. Il est toujours plus facile d’obtenir un consensus quand on fait taire les voix discordantes…

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Quand les mensonges sont répétés en boucle, certains finissent par y croire

La gestion de cette crise planétaire et cette manipulation systématique de l’opinion devraient retentir comme un signal d’alarme dans toutes les oreilles, vaccinées ou non : de nombreuses informations sont volontairement étouffées, alors qu’il faudrait justement plus de transparence.

Et beaucoup de mensonges sont colportés. Certains sont gros comme une maison, pardon, un gratte-ciel. Les candidats à la médaille d’or dans la catégorie Pinocchio se dénombrent d’ailleurs par milliers. Olivier Véran remplirait cette page à lui seul.

L’autre jour, en pleine conférence de presse du Conseil fédéral, j’ai entendu Lukas Engelberger (président de la Conférence suisse des directeurs de la santé) déclarer, sans sourciller: “Grâce au certificat covid, nous avons pu éviter de surcharger les hôpitaux”. Pas la moindre preuve pour étayer ses propos, bien entendu. Et aucune manifestation de fact-checkers, pourtant si prompts à réagir dès qu’un opposant s’exprime.

Pas plus tard que vendredi, la directrice de la CDC américaine tweetait un abracadabrant “le masque protège à 80% d’une infection”. De nombreuses études ont pourtant conclu que le masque n’avait, tout un plus, qu’une efficacité relative. Il est vrai que la CDC n’est plus à une tromperie près… D’ailleurs, je m’étonne qu’elle n’ait pas encore déclaré que le vaccin contribue à diminuer le risque de cancer de la prostate, le réchauffement climatique et la chute d’astéroïdes.

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Ainsi, à force d’être répétés en boucle, avec la connivence de nombreux journalistes, ou repris sans aucune vérification dans les médias, ces mensonges finissent par sonner comme une vérité.

Un lavage de cerveau permanent

Parmi les méthodes de lavage de cerveau largement utilisées par les gouvernements : la peur et la division. Du côté des décideurs, on adore agiter le spectre du lockdown afin de terroriser la population et, surtout, culpabiliser les insoumis.

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Or, il suffit de regarder du côté de la Lettonie, de Singapour ou d’Israël pour le constater : une population très majoritairement vaccinée ne permet pas d’éviter les confinements.

Le pass ne permet donc même pas aux entreprises de rester ouvertes et à l’économie de mieux tourner.

La réalité montre que le chantage du « vaccin ou un nouveau lockdown » ne fonctionne tout simplement plus. Il convient aussi de rappeler que de nombreuses études arrivent à la conclusion que les répercussions négatives d’un confinement dépassent largement les aspects positifs.

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Bien sûr, les urgences pourraient être débordées de malades du Covid, en majorité non-vax (même si cette tendance commence à s’inverser). Avec comme conséquence des opérations ou des traitements déprogrammés. Et là, oui, les non-vax en seraient partiellement responsables. Responsables, mais pas nécessairement coupables.

Sans entrer dans la polémique de la suppression des lits d’hôpitaux, force est de constater que la saturation des urgences à cause de malades du Covid est davantage l’exception que la règle. Depuis une éternité.

Le choix entre la peste et le choléra

Comme la vaccination n’est pas obligatoire, chacun doit assumer son choix, martèlent les partisans de la ségrégation par l’aiguille.

Mais peut-on parler de libre choix lorsqu’une décision individuelle d’ordre médical entraîne la perte d’un job sans droit à des indemnités (comme en France ou en Italie), le refus d’être soigné à l’hôpital ou une mise à l’écart de la société ?

Pourquoi ne pas punir aussi ceux qui votent à gauche, qui se déclarent contre l’immigration, qui consomment régulièrement de la viande ou qui possèdent une grosse 4×4 ? Vous trouvez sans doute cette idée absurde. Et c’est pourtant ce que le gouvernement vous demande de faire pour les citoyens qui refusent le vaccin.

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Aujourd’hui, les vaccinés disposent de certains « privilèges », certes. Mais demain, ils seront peut-être aussi victimes de la répression des talibans du sanitairement correct, s’ils n’obtempèrent pas aux injonctions (j’allais dire injections) des dirigeants.

En votant oui à la loi Covid, ils risquent de se tirer une balle dans le pied. Et une nouvelle aiguille dans le bras.

Un exemple : si vous n’êtes pas à jour pour votre 3e, 4e ou 15e dose, vous serez à votre tour considéré comme un paria. Avec les conséquences suivantes, en fonction du degré de folie des dirigeants :

  • suspension ou perte d’emploi
  • interdiction de fréquenter des lieux publics
  • prohibition de sortir de chez vous
  • refus de soins en cas de pépin de santé
  • impossibilité d’utiliser des services bancaires
  • interruption de salaire ou de rentes
  • placement forcé dans des camps d’isolement, même si vous êtes seulement un cas contact

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Ces exemples ne relèvent pas, hélas, de la science-fiction orwellienne. Des pays appliquent déjà certaines de ces mesures (interdiction de voyager pour les non-vax au Canada; gros nein pour en Autriche pour manger au resto, même testé; péremption du pass en Israël, confinement forcé en Russie; délires permanents en Australie) en ce moment.

Et le nombre de politiciens et citoyens déclarant publiquement vouloir les imposer donne des sueurs froides.

La Suisse n’est plus l’heureuse exception

“Oui, mais la Suisse ne prendra jamais de telles mesures liberticides”, entend-on souvent. C’est vrai qu’elle s’en était plutôt bien sortie, jusqu’ici. Mais aujourd’hui, rien n’est moins sûr, vu la tendance des gouvernements à copier les débilités de leurs voisins.

La compagnie Swiss licenciera d’ailleurs son personnel naviguant non-vacciné dès l’année prochaine.

Petite parenthèse: pourquoi ne pas plutôt copier la Suède, qui a fait tout juste depuis 18 mois, sans confinement, sans masque obligatoire, sans obligation vaccinale déguisée ? La patrie du smorgasbord démontre qu’il existe d’autres moyens beaucoup plus efficaces et moins délétères d’affronter cette pandémie.

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Big Pharma au pouvoir

Accepter la loi Covid et son infâme pass revient à laisser entrer un loup vorace dans un poulailler: les victimes et les dégâts seront nombreux.

Une fois le pass adopté, le monde d’avant sera définitivement enterré. Plus rien n’empêchera les trop puissants labos et autres thuriféraires de l’aseptisation universelle de partir en croisade afin d’édicter d’autres mesures sanitaires préventives et obligatoires :

  • pilules complémentaires au vaccin Covid
  • vaccin annuel de la grippe
  • vaccin contre une nouvelle pandémie qui risque de décimer 0,0000024% de la population
  • masques permanents même en extérieur pour lutter contre les maladies respiratoires transmissibles
  • médicaments contre le diabète, les maladies cardiovasculaires, Alzheimer et le cancer directement déversés dans l’eau potable
  • interdiction de sortir de chez soi au moindre signal de rhume
  • prise de température systématique dans tous les lieux publics

Pour votre bien, of course, et pour celui de la société.

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J’exagère et j’ironise, bien sûr. Quoi que… Une fois le pass adopté, les pires scénarios sont tous envisageables. Beaucoup de ces scripts dignes d’un mauvais film de terreur (à commencer par le port du masque lorsqu’on se promène tout seul en forêt ou l’interdiction de se réunir entre amis chez soi) sont déjà devenus réalité en 18 mois.

Sincèrement, souhaitez-vous vivre dans un monde où l’industrie pharmaceutique dicte les politiques sanitaires ? Une industrie obnubilée par le profit, dans laquelle la corruption, la tricherie et le mensonge sont endémiques. Et contre laquelle même les politiciens et les scientifiques les plus intègres ont de la peine à lutter, tant les moyens sont disproportionnés.

Car il ne faut pas leurrer: il est plus que probable que d’autres variants apparaissent dans les prochains mois et qu’une nouvelle pandémie planétaire se déploie dans les années à venir. Sans mentionner des actes de bio-terrorisme.

Pour ceux qui l’ignorent encore, depuis des lustres, les labos se chargent de monter et de réaliser les études au sujet de leurs propres produits. C’est un peu comme si on demandait à un accusé d’être le juge de son propre procès.

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Ces données, entièrement contrôlées (et n’ayons pas peur des mots, parfois manipulées) par les labos, servent de référence quasi absolue aux autorités pour décider d’une politique sanitaire. Quand ces dernières ne se contentent pas d’un simple communiqué de presse du service marketing ou d’une déclaration du PDG (voir la déclaration tout à fait objective ci-dessus) pour former leur opinion !

Je ne sais pas vous, mais j’ai quand un peu de peine à faire une confiance aveugle à ce genre de procédures. D’ailleurs, les accusations de mauvaises pratiques, portées tout récemment par une ancienne directrice de Ventavia (un sous-traitant des essais cliniques de Pfizer) dans le BMJ, ne sont peut-être que la pointe d’un gros iceberg. Des témoignages de parents et de participants sur les réseaux évoquent aussi de graves disfonctionnements (oublis volontaires?) dans le suivi des effets indésirables.

Le contrôle Made in China

Voulez-vous vraiement habiter une planète obsédée par le contrôle qu’implique un certificat Covid ? Une planète qui adopterait sans réserve le crédit social à la chinoise, en séparant les bons citoyens de l’ivraie ? Le lien entre passeport sanitaire, surveillance permanente et perte de libertés fondamentales est beaucoup moins abstrait qu’il n’y paraît.

Un exemple? Dans certains pays pourtant civilisés (Canada, Australie), avec le durcissement des lois sanitaires, la police a le droit d’entrer chez vous pour contrôler ce que vous faites. Ou avec qui vous êtes. Sans mandat judiciaire.

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Et surtout, désirez-vous un monde infantilisant où l’on vous dit systématiquement ce que vous devez et pouvez faire, sans véritable débat démocratique, sans partage des informations objectives indispensables à une décision éclairée ?

Voter non ne fait pas de vous un anti-vax

Voter non contre la loi Covid ne fait pas de vous un anti-vax, ni un négationniste de la pandémie. Pas plus qu’un saboteur de l’économie.

À titre personnel, je n’ai rien contre les vaccins en général. D’ailleurs, la balance bénéfice-risque à court et à moyen terme, à partir d’un certain âge, penche clairement en faveur d’un shot de Pfizer, Moderna et consorts.

Mais j’ai des réserves sur CE vaccin, comme seul outil universel pour combattre la pandémie. La nuance est importante. Primordiale, même. Entre le noir et le blanc, il existe de nombreuses nuances de gris. Hélas, aujourd’hui, adopter une posture plus pondérée et s’interroger, c’est hériter à coup sûr de la double insulte: complotiste et anti-vax.

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Imposer un traitement expérimental à toute la planète, en prétendant que l’immunité acquise naturellement ne protège pas, pour ne citer que cette aberration épidémiologique-là, ne relève pas de la science, mais de l’idéologie.

Une idéologie au nom de laquelle certains n’hésitent pas à maquiller des études, trafiquer des chiffres, cacher des informations et mentir ouvertement depuis bientôt 2 ans.

Ceux qui souhaitent se protéger avec le vaccin ont tout à fait raison de le faire. Ceux qui préfèrent attendre ou choisissent de ne pas se sacrifier sur l’autel de l’empressement aussi.

Dans ces gestes tout sauf anodins, il n’y a ni héros ni de vilains. Simplement des êtres humains face à leurs peurs, leurs convictions et une perception du risque différente. Et tous méritent d’être respectés.

Voter non à la loi Covid, c’est justement se montrer solidaire avec autrui et respecter son choix. Comme dans toute démocratie. C’est unir au lieu de diviser, inclure au lieu d’ostraciser.

Voter non, c’est aussi refuser que des assoiffés de pouvoir, de reconnaissance ou d’argent puissent s’emparer des rênes de nos corps, de nos vies.

Vaccinés, la clé du monde de demain est entre vos mains. Ne fermez surtout pas la porte à double tour, vous risquez vous aussi d’en subir les irréversibles conséquences.

Votez NON à la loi Covid, en raison de son infâme certificat, le 28 novembre.

 

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