Le Conseil fédéral et le Parlement
trompent le souverain !

Pétition pour un vote équitable

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Nos exigences

La question du vote sur la loi Covid est une manipulation. Les arguments des partisans sont directement intégrés dans la question du vote. Les arguments des opposants, qui sont importants en termes de politique d'État et de société, sont complètement omis. Une telle procédure fausse le comportement de vote de l'électorat et elle n'est pas digne d'une démocratie directe.

 

Dans le livret de vote, le Conseil fédéral et le Parlement ont beaucoup plus de place pour présenter leurs propres arguments que le comité de référendum ou d'initiative.

  • Dans la section "En bref", la situation initiale et la proposition sont décrites avec une "objectivité simulée". Dans les faits, ce passage est très proche de l'argumentaire du "oui ». Combiné à la question manipulatrice, le camp des partisans dispose d'environ 75 % de la double page disponible dans cette section pour promouvoir le vote par "OUI".
  • Dans la section "En détail", la proposition doit être présentée de manière neutre sur quatre pages. L'idée serait que les partisants et les opposants s'expriment ensuite sur deux pages chacun. La section d'information est également biaisée ici. Il est suggéré que le projet de loi vise principalement à accroître l'aide financière et que d'autres banalités seront réglées. Ce certificat, qui exclut environ 2 millions de personnes en Suisse d'une grande partie de la vie sociale, ne vaut pas un titre en caractères gras. Les aides financières, dont la plupart arrivent à échéance en mars et ne seront pas affectées si les mesures de durcissement sont rejetées avec un NON, sont présentées comme pertinentes dans la section information. C'est manipulateur et injuste.

La recommandation de vote du Conseil fédéral et du Parlement au dos du livret de vote devrait être supprimée à l'avenir. Les recommandations du Conseil fédéral ont une forte influence sur la formation de l'opinion en raison du profil élevé des magistrats et influencent excessivement la formation de l'opinion de l'électorat. Si un référendum ou une initiative est lancé, il est clair que la population doit s'impliquer dans le processus politique et/ou qu'il y a un désaccord avec le projet parlementaire.

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Par cette pétition, nous revendiquons nos droits constitutionnels et légaux !

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Citations sur la question du vote

Roger Köppel dans Weltwoche Daily, 12.11.2021 :

"C'est la plus grande tromperie manipulatrice du citoyen électeur que je connaisse. C'est un scandale ! Le texte de ce bulletin de vote : massivement trompeur, massivement partial, massivement manipulateur. Pas une syllabe ne mentionne le certificat Covid. Ce texte est une honte pour la Confédération suisse !"

Dr Gerald Brei, avocat :

"Début août 2021, le Tribunal fédéral a rejeté tous les recours en matière de votation sur le premier référendum du 13 juin 2021 comme étant irrecevables, car les exposés des motifs de la votation ne pouvaient pas être directement contestés en justice. Cela ouvre les vannes aux manipulations de toutes sortes. Le Conseil fédéral exploite sans retenue cette marge de manœuvre juridique pour faire une publicité mensongère aux nouvelles dispositions de la loi Covid-19, qui sont illégales et inconstitutionnelles. Contrairement à l'art. 34 de la Constitution fédérale, une libre formation de la volonté et un vote non faussé ne sont donc pas possibles. L'action du Conseil fédéral viole massivement les principes de l'Etat de droit (art. 5 BV). C'est un scandale de premier ordre en termes de droit constitutionnel et de politique démocratique.

Julian Zaccaron, guide de montagne :

"Cette question de vote est une tromperie sans précédent. Je ne comprends pas comment une telle chose est possible dans la démocratie modèle qu'est la Suisse. Il est évident qu'on y cherche à obtenir un oui par tous les moyens, y compris par la tromperie".

Dr Klaus Rüdiger, historien, Conseil consultatif des Amis de la Constitution :

"Une formation d'opinion libre et non faussée est une condition de base pour les processus démocratiques. Pour cela, la population ayant le droit de vote a besoin d'informations correctes. Si la formation de l'opinion est influencée unilatéralement par un moyen d'information central et officiel tel que le bulletin de vote, il y a là une grave anomalie du point de vue de la théorie démocratique".

Sandro Meier, économiste, Conseil des Amis de la Constitution :

"Avec cette question référendaire, la Suisse se dégrade au niveau d'une république bananière. Évidemment, le marketing pour un projet de loi commence par le nom du projet de loi."

Heidi Joos, directrice générale d'Avenir50plus, ancienne conseillère cantonale :

"Trompeuse et manipulatrice, la question du vote.
Aucun chômeur ne perdra un seul franc d'indemnité journalière si nous votons NON, mais ils seront épargnés par la surveillance et une société à deux vitesses".

Marion Russek, entrepreneur, co-présidente des Amis de la Constitution :

"Je n'ai jamais imaginé qu'un bulletin de vote puisse être aussi trompeur en Suisse !

Nos processus démocratiques se démantèlent ainsi eux-mêmes : cette tactique de tromperie des électeurs est loin de toute transparence et de toute information basée sur des faits".

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